Mimaki présente tout l’écosystème de l’impression numérique sur textile à la FESPA 2018

Une source unique pour le prétraitement, l’impression, le vaporisage, le lavage et la gestion de production

Mimaki vient d’annoncer qu’il présente la série Rimslow, écosystème complet de bout en bout dédié à l’impression numérique sur textiles et vêtements, dans le cadre de la FESPA 2018, qui se déroule du 15 au 18 mai à Berlin. Mimaki y occupe le stand 1.2-D20/D30. Pour les entreprises, la possibilité d’acquérir un système complet auprès d’un fournisseur unique facilite l’entrée dans le monde de l’impression numérique sur textiles et vêtements, et pour les entreprises déjà en place, simplifie l’ajout de l’impression numérique au mix de processus conventionnels d’impression sur textile.

Ronald van den Broek, General Manager Sales chez Mimaki Europe, souligne que « les entreprises qui souhaitent aujourd’hui participer à la révolution de l’impression numérique sur textile doivent acheter des imprimantes et des solutions de prétraitement et de post-traitement auprès de différents fabricants. Non seulement cela n’est pas pratique, mais on peut aussi assister à des problèmes de mise en œuvre sans qu’un interlocuteur unique assume l’entière responsabilité de leur résolution. Grâce à l’acquisition l’an passé de l’entreprise australienne Rimslow, Mimaki dispose désormais de tous les composants nécessaires, dont le prétraitement des tissus, l’impression numérique, ainsi que le post-traitement de vaporisage et de lavage avec la série Rimslow. »

Mimaki a aussi annoncé son premier développement sur le secteur de l’Internet des Objets (IdO) pour textiles et vêtements (TA en anglais), ajoutant alors une nouvelle structure permettant d’accélérer le traitement et de réduire les erreurs. Ce nouveau produit, appelé contrôleur de travaux TA Mimaki, comporte des fonctions qui assurent la gestion des conditions de production, la lecture de codes-barres et la visibilité dans la base de données de production. Avec la gamme des machines Mimaki pour textile, ces composants forment un écosystème complet d’impression numérique sur textile, pour que votre entrée dans le monde de l’impression numérique sur textile soit quasiment sans risque.

L’écosystème numérique Mimaki pour textiles et vêtements : les détails

Imprimer des textiles en utilisant les technologies du jet d’encre numérique exige d’une façon générale quatre étapes distinctes :

  • Le prétraitement des tissus avant impression est indispensable pour garantir une interaction optimale entre l’encre et le tissu, et pour prévenir tout risque de dégorgement de l’encre. En utilisant le module de prétraitement Mimaki TR300-1850C, les entreprises peuvent réaliser le prétraitement en interne, et ainsi réduire les coûts, raccourcir les cycles de production et disposer d’un meilleur contrôle de l’ensemble du processus.
  • L’impression jet d’encre directe des textiles est réalisée en utilisant une imprimante pour textile Mimaki, par exemple la nouvelle Tiger 1800B MkII, imprimante numérique de production pour textile, qui a été présentée à la FESPA.
  • Le vaporisage du textile imprimé est nécessaire pour fixer l’encre sur le tissu. Cette opération est accomplie avec la vaporiseuse Mimaki TR300-1850S ou Mimaki TR600-1850S.
  • L’étape de lavage permet de retirer du tissu l’encre et l’agent de traitement restants, et de préparer le tissu pour les étapes suivantes de fabrication et/ou de distribution. On utilise au cours de cette étape le laveur Mimaki TR600-1850W.

Pour contrôler la qualité du produit fini, un facteur essentiel est la possibilité de contrôler le processus de production et de garantir la cohérence d’une série à l’autre. Avec la nouvelle création de l’IdO Mimaki pour le marché des textiles et des vêtements, ce contrôle est réalisé en utilisant trois composants essentiels :

  • La gestion des conditions de production, conçue pour enregistrer les données associées aux conditions de production, et gérer des conditions de production qui peuvent évoluer en fonction du type de textile, des encres et des produits finaux réalisés. Ces données peuvent être exploitées pour garantir l’homogénéité d’un travail à l’autre pour des travaux répétés, et pour simplifier l’utilisation de plusieurs groupes d’impression simultanément afin d’augmenter les rendements et d’assurer une répartition efficace de la charge de travail.
  • Des codes-barres de condition de production peuvent être utilisés pour consulter les données de gestion des conditions de production stockées dans la base de données de production et assurer la configuration automatique d’un travail. Ce composant accélère le calage d’un travail, réduit les erreurs humaines et facilite l’obtention de textiles imprimés de qualité même pour les opérateurs les moins expérimentés.
  • La visibilité dans la base de données de production offre aux équipes de gestion des informations pertinentes, dont les chiffres de production réels, le personnel impliqué dans le procédé, le temps de production et les taux de défaillance, en plus des conditions de production. La gestion dispose alors de données en temps réel et peut prendre de meilleures décisions et améliorer les processus en continu, notamment via le calcul coût/profit et une meilleure planification de la production.

« Avec le lancement de l’écosystème numérique Mimaki pour textiles et vêtements, et suite à notre coentreprise avec Bompan, en Italie, nous travaillons à proposer au secteur de la production numérique de textiles et vêtements une approche par des solutions complètes », ajoute Ronald van den Broek. « Nous avons hâte d’entendre les impressions des visiteurs de la FESPA qui ont vu pour la première fois notre ligne de production textile en action. »

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